C'était en Colombie, au cours d'un vernissage, je regardais Nicoll déambulant en parfaite bourgeoise dans sa longue robe noire et ample. Je devinais malgré tout, ses formes généreuses lorsque le tissu épousait plus étroitement son corps lorsqu'elle effectuait certains mouvements. Elle fit tomber son sac que je ramassai immédiatement et en attrapant deux coupes de champagne qui passaient sur un plateau, nous pûmes entamer la conversation. Je voyais les tétons de ses seins pointer sous la caresse de la soie de son corset. Nous parlions mais sans nous écouter, je n'avais d'yeux que pour ses lèvres qui appelaient à être emplie par un sexe et elle avait aperçu le renflement que j'avais du mal à réprimer sous mon pantalon. Nous nous promenions au milieu des tableaux et je tournai la poignée d'une porte dans un recoin d'une salle qui s'ouvrit magiquement. Nous nous y engouffrâmes discrètement et je pus enfin sentir la douceur de ses lèvres si pulpeuses. Elle était nue sous sa robe ample et je promenai mes mains sur la braise de son corps. Elle m'avait baissé le pantalon, me branlait avec une énergie maîtrisée. Nos salives coulaient, j'en emplis main pour en étaler sur son anus qui palpitait. Je l'ai prise debout, dans le noir car nous n'avions pas trouvé la lumière. Je la branlais en même temps que je la prenais et lorsque j'ai lâché mon sperme en elle, elle a joui dans ma main comme si ma jouissance avait traversé son corps. Le plus dur était de trouver à s'essuyer sans tacher nos vêtements de soirée, par chance un tapis ou de la moquette recouvrait le sol.