Mercredi 14 avril 3 14 /04 /Avr 14:54

JOVANA CARLA 1 JOVANA CARLA 2 JOVANA CARLA 5

C'était à Rio, ville que je fréquente souvent pour mes déplacements professionnels et que mes penchants maladifs pour le 3ème sexe, affectionnent. Après une journée de tractation, Ronaldo, mon correspondant professionnel (un beau et élégant dandy homo) m'invita à faire les 100 coups pour fêter nos accords commerciaux. Après un délicieux diner, il m'invita dans un bar lounge sur un toit qui surpomblait toute la ville. Le champagne était divin et il commença à me draguer sec et à me caresser la main. Je lui fis comprendre très poliment que malgré sa beauté mes penchants étaient tout autre. Il me regarda d'un oeil amusé jusqu'à ce que Jovana se jette à son cou. Il semblaient très heureux de se retrouver et il me présenta à cette bombe brune et immense. Elle me mangea littéralement du regard en me serrant la main à laquelle elle venait d'ôter ses gants de soirée. Quasi immédiatement, mon pantalon se tuméfia de désir. Mon hôte m'expliqua leur vieille connivence par leur passé commun dans les favelas. Il avait connu Jovana tout petit et l'avait pris sous sa protection. C'est lui qui avait financé sa transformation et l'avait installée dans les milieux de la jet-set locale. Il m'expliqu'a également qu'ils étaient parfois amant et qu'il adorait se faire prendre par sa belle protégée et dormir ensemble l'un contre l'autre, l'un dans l'autre.

Il me proposa de poursuivre la soirée autour d'un dernier verre chez lui en compagnie de Jovana. Je sentis mon sexe se gonfler encore plus et mis ma veste pliée sur mon avant-bras pour masquer l'érection permanente depuis ce premier regard échangé avec Jovana. Mon impatience fut de courte durée car il m'avoua que son appartement joustait le bar qui en fait lui appartenait. Effectivement, quelques couloirs après, j'étais installé dans un fauteuil de cuir blanc qui dominait la baie de Rio. J'avais laissé ma veste de côté et mon érection était vraiment impressionante (il faut dire que je ne mets rien sous mon pantalon). Ronaldo nous donna des pilules magiques (c'était son terme) que nous avalâmes avec le cul-sec d'une nouvelle coupe de champagne. Ronaldo riait en disant que la nuit serait longue et remplissant nos coupes. Nous trinquâmes de nouveau mais Jovana garda en bouche son champagne. Elle me roula alors un patin grandiose ou sa langue chaude contrastait avecla fraîcheur du champagne. Elle me livra sa gorgée dans ma bouche que je bus avidement. Pendant ce temps, elle m'avait défait le bouton de mon pantalon et me branlait doucement la dureté de mon sexe. Ronaldo défit sa petite robe noire d'un geste de prestidigitateur ainsi que son string de cuir qu'il dégrafa sur le côté. Elle reprit une gorgée de champagne, s"agenouilla et engloutit mon sexe dans le champagne effervervescent de sa bouche. C'était divin et je le criais. Ronaldo s'était alongé sous elle et lui engloutissait son énorme sexe entre ses lèvres fines. Les lumières de Rio dansaient dans la baie. Son verre étant vide, je me séshabillais, Ronaldo en profita pour se mettre à 4 pattes sur la moquette épaisse. Jovana le fessa puis lui lécha son anus offert, elle aussi à 4 pattes. Je fis de même avec son merveilleux cul palpitant et qui sentait bon le désir. Je m'ennivrais de son odeur et branlait son énorme sexe dur comme un bâton. Elle m'ouvrait son anus que j'aspergeais de salive. Elle se releva et me montra le cul ouvert de Ronaldo, elle me mit 2 doigts dans la bouche, étala ma salive sur son sexe et empala son amant. Son cul palpitait. Je mis ma main devant sa bouche et elle me déversa une salive onctueuse que j'étalai sur mon sexe. J'ai rapproché un fauteuil pour me reposer dessus et j'ai posé mon sexe sur le bord de son anus et elle a crié lorsque je me suis enfoncé en elle au rythme de son va-et-vient dans Ronaldo. Je n'ai quasiment pas bougé, elle massacrait son amant de son sexe puissant et se cognait à mes couilles chaque fois qu'elle reculait. Elle jouissait du cul régulièrement comme j'ai rarement vu et nous sommes restés ainsi jusqu'au lever du soleil sans jouir, en limant à en perdre haleine avec de temps en temps une vieille soubrette à la peau ridée, nue sous tablier qui venait nous alimenter en pilules diverses et en champagne. C'était iréel. Ronaldo fut le premier à jouir, il hurla de plaisir au soleil nouveau qui nous éclairait. Immédiatement, la soubrette vint lécher à 4 pattes la semance éjaculée sur la moquette. Jovana limait de plus belle et je sentais sa jouissance s'approcher à la rétractation de son anus. L'idée même de sa jouissance me rapprochait de la mienne. Je fessais son cul avec une rare violence. Je sentais tout en elle. J'ai alors moi-aussi redoublé de violence, j'avais mal aux couilles à force de la percuter si profondemment. Elle a crié en même temps que je hurlais, je crois n'avoir jamais joui aussi violemment et abondemment. Nous nous limions toujours pourtant, mon sperme refoulait de son cul en même temps que sa jouissance anale. Je n'avais plus la notion du temps, j'avais 100 ans. Nous nous sommes endormis ainsi, le sexe toujours en érection maximum.  Je me souviens juste de la langue de la soubrette qui léchait ce qui était tombé, et ce qui ruisselait sur nos cuisses. Je suis resté deux jours chez eux, sans me rhabiller, lavé par la soubrette qui s'occupait de tout nos besoins et animé par le désir fou du cul de Jovana.

Par trans64.erog.fr - Publié dans : Sexpérience - Communauté : lovetrans
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