Lorsque j'ai connu Carla, elle était encore brune. Sur la promenade de la baie de Rio, elle dandinait ses fesses sous une jupe en jean et ses seins était serrés dans un petit bustier de coton rose. Elle portait des lunettes noires sous un grand chapeau de paille orné de petites fleurs colorées, et un grand voile translucide recouvrait l'ensemble. Ce n'est pas sa tenue qui était singulière mais la blancheur de sa peau qui contrastait avec toute les filles bronzées qui promenaient la ficelle de leur string entre leur fesses. Il me semblait aussi qu'elle était différente mais je n'en était pas si sûr, car je je la voyais que de dos. Une chose était certaine, l'attrait que procurait son déhanchement sur mon érection naissante. Le galbe de ses fesses frottait la toile de jean à chacun de ses pas et j'arrivais à sa hauteur. Il faut dire que fraîchement débarqué du Canada, je m'etais moi aussi muni d'un grand chapeau de paille pour éviter de brûler ma peau d'occidental venu tout droit de l'hiver. Je lui fis un signe avec mon chapeau en arrivant à sa hauteur en lui disant que nous avions apparemment le même goût pour les choses cachées et secrètes. Elle ralenti en enlevant ses lunettes et planta un regard sans équivoque sur le léger renflement de mon short en me disant que cela lui semblait évident et que les choses secètes étaient faites pour être goûtées dans l'intimité. Quelques minutes plus tard, nous marchions en direction de mon appartement de passage. Dans l'ascenseur, je voyais sa peau laiteuse frissonner pendant que nous nous frôlions avec retenue. J'avais tiré les stores pour éviter que la chaleur ne rentre et elle retint ma main qui allait allumer la lumière. Il est vrai que les puissants rais de lumière qui pénétraient à travers les stores, suffisaient pour que l'on se voit suffisamment.

Elle savait quoi, elle savait comment. Après de profond et doux baisers, elle me prit la main, et m'amena jusqu'à la salle de bain entrouverte. Elle fit couler l'eau dans la baignoire puis entreprit de me déshabiller lentement. Mon sexe se tendit vers elle lorsqu'elle enleva mon short. Elle l'effleura de ses ongles et me mis dans l'au tiède de la baignoire pleine. Elle se déshabilla avec une infinie lenteur en caressant sa peau, en faisant glisser sa jupe puis son corset. Un petit string de dentelle retenait l'érection de son sexe. Elle me fit sentir la partie qui touchait son anus, j'en adorai l'odeur douceâtre, enivrante. Elle prit alors dans son sac de plage, des petits objets incongrus, un pince-nez et des bouchons pour ses oreilles. Elle glissa dans l'eau de la granche baignoire, prix une grande aspiration et plongea. Méticuleusement, elle enfourna mon sexe dans sa bouche pour éviter que l'eau ne s'y hasarde. Malgré que mon sexe fut plongé depuis un moment dans l'eau tiède, mon érection tenait bon mais elle fut redoublée car mon sexe préférais de loin l'humidité brûlante de sa bouche. Elle tournait sa langue sur mon gland, me griffait le torse, les fesses et m'englouitissait entre ses lèvres serrées sur mon sexe. Sa croupe sortait hors de l'eau et je fis un devoir de la fesser. Lorsque sa croupe se trouva rosée de mes frappes, elle fit sévacuer l'eau du bain. Je débouchais tout les flacons de savon de bain et de douche et les déversait sur nos corps. L'eau s'était évacuée. Nous nous frottions sur nos corps glissants en nous embrassant follement. Elle me tira vers le fond de la baignoire et s'empala doucement sur mon sexe.

... à suivre