Ma vahiné du brésil. J'étais au carnaval de Sao Paulo, loin des boulevards démonstratifs de Rio, dans la ferveur de ce carnaval incroyable où les marées humaines descendent les rues comme des fleuves de désir et d'espérances. Une grande amie à moi m'avait invité à partager cette communion violente et charnelle. Nous étions ivre de danse, de transe même dans cette foule où les peaux blanches se distinguent par leur rareté. Tous les descendants des esclaves africains suivaient le son des tambours, nous dansions durant des heures peaux contre peaux, la nuit n'existait pas. Lorsque Isabella m'apparut pour la première fois, elle avait un minuscule short en jean et un tee-shirt rose sous sa tenue de vahiné. Mon hôtesse connaissait bien sûr mon penchant démesurée pour les vahiné comme Isabella et je vis son regard amusé lorsqu"elle me présenta à elle. Isabella. J'en frisonne encore de cette rencontre quasi divine au milieu de cette foule où je n'existais pas ou les autres disparaissaient dans cette symbiose de la multitude. Nous ne pouvions pas parler, les tambours assourdissants, la foule nous emportait sans pouvoir s'arrêter. Mais j'étais heureux car mon bras se frottait au sien dans la cadence de la danse, nous vibrions et mon sexe sentait que lui aussi existait. Je voyais parfois le renflement de son short et la pointe tendue de ses petits seins comme je les aime. Je n'étais qu'une note tendue qui vibrait à l'unisson avec cette note si voisine. Si certaine. Je n'étais pas pressé car je savais qu'elle serait mienne et cette certitude me donnait à vivre ce présent cadencé contre sa peau, à ses côtés.

... à suivre

Ce fut une relation intense et brève mais ce que j'aimais surtout chez Aline c'était la fierté qu'elle avait de son corps. A juste titre d'ailleurs. Elle se touchait tout le temps, me montrait la rondeur de ses seins, le galbe de ses fesses. Elle a su tout de suite reconnaître ma friandise préférée : elle me tournait son cul ou elle immissait un doigt, elle le tournait comme s'il se fut agit d'une potion magique et me présentait en souriant la petite couronne dilattée de son anus. Elle m'avait tracé la voie et il ne suffisait plus que d' y  poser la calotte de mon sexe tendu pour que d'un petit coup de rein, elle m'engloutisse en elle.

Ma belle thaïlandaise a très chaud dans la moiteur asiatique. Mais ce n'est pas uniquement pour cela que sa petite culotte tombe si facilement sur ses jambes. J'aime lui faire rougir ses fesses plates et lisse par petites tapes, du bout d'une cravache. Je lui happe son petit sexe durci de désir à pleine bouche et puis je la monte à grandes chevauchées vers d'infinis plaisirs.

Lorsque j'ai connu Carla, elle était encore brune. Sur la promenade de la baie de Rio, elle dandinait ses fesses sous une jupe en jean et ses seins était serrés dans un petit bustier de coton rose. Elle portait des lunettes noires sous un grand chapeau de paille orné de petites fleurs colorées, et un grand voile translucide recouvrait l'ensemble. Ce n'est pas sa tenue qui était singulière mais la blancheur de sa peau qui contrastait avec toute les filles bronzées qui promenaient la ficelle de leur string entre leur fesses. Il me semblait aussi qu'elle était différente mais je n'en était pas si sûr, car je je la voyais que de dos. Une chose était certaine, l'attrait que procurait son déhanchement sur mon érection naissante. Le galbe de ses fesses frottait la toile de jean à chacun de ses pas et j'arrivais à sa hauteur. Il faut dire que fraîchement débarqué du Canada, je m'etais moi aussi muni d'un grand chapeau de paille pour éviter de brûler ma peau d'occidental venu tout droit de l'hiver. Je lui fis un signe avec mon chapeau en arrivant à sa hauteur en lui disant que nous avions apparemment le même goût pour les choses cachées et secrètes. Elle ralenti en enlevant ses lunettes et planta un regard sans équivoque sur le léger renflement de mon short en me disant que cela lui semblait évident et que les choses secètes étaient faites pour être goûtées dans l'intimité. Quelques minutes plus tard, nous marchions en direction de mon appartement de passage. Dans l'ascenseur, je voyais sa peau laiteuse frissonner pendant que nous nous frôlions avec retenue. J'avais tiré les stores pour éviter que la chaleur ne rentre et elle retint ma main qui allait allumer la lumière. Il est vrai que les puissants rais de lumière qui pénétraient à travers les stores, suffisaient pour que l'on se voit suffisamment.

Elle savait quoi, elle savait comment. Après de profond et doux baisers, elle me prit la main, et m'amena jusqu'à la salle de bain entrouverte. Elle fit couler l'eau dans la baignoire puis entreprit de me déshabiller lentement. Mon sexe se tendit vers elle lorsqu'elle enleva mon short. Elle l'effleura de ses ongles et me mis dans l'au tiède de la baignoire pleine. Elle se déshabilla avec une infinie lenteur en caressant sa peau, en faisant glisser sa jupe puis son corset. Un petit string de dentelle retenait l'érection de son sexe. Elle me fit sentir la partie qui touchait son anus, j'en adorai l'odeur douceâtre, enivrante. Elle prit alors dans son sac de plage, des petits objets incongrus, un pince-nez et des bouchons pour ses oreilles. Elle glissa dans l'eau de la granche baignoire, prix une grande aspiration et plongea. Méticuleusement, elle enfourna mon sexe dans sa bouche pour éviter que l'eau ne s'y hasarde. Malgré que mon sexe fut plongé depuis un moment dans l'eau tiède, mon érection tenait bon mais elle fut redoublée car mon sexe préférais de loin l'humidité brûlante de sa bouche. Elle tournait sa langue sur mon gland, me griffait le torse, les fesses et m'englouitissait entre ses lèvres serrées sur mon sexe. Sa croupe sortait hors de l'eau et je fis un devoir de la fesser. Lorsque sa croupe se trouva rosée de mes frappes, elle fit sévacuer l'eau du bain. Je débouchais tout les flacons de savon de bain et de douche et les déversait sur nos corps. L'eau s'était évacuée. Nous nous frottions sur nos corps glissants en nous embrassant follement. Elle me tira vers le fond de la baignoire et s'empala doucement sur mon sexe.

... à suivre

C'était à Rio, ville que je fréquente souvent pour mes déplacements professionnels et que mes penchants maladifs pour le 3ème sexe, affectionnent. Après une journée de tractation, Ronaldo, mon correspondant professionnel (un beau et élégant dandy homo) m'invita à faire les 100 coups pour fêter nos accords commerciaux. Après un délicieux diner, il m'invita dans un bar lounge sur un toit qui surpomblait toute la ville. Le champagne était divin et il commença à me draguer sec et à me caresser la main. Je lui fis comprendre très poliment que malgré sa beauté mes penchants étaient tout autre. Il me regarda d'un oeil amusé jusqu'à ce que Jovana se jette à son cou. Il semblaient très heureux de se retrouver et il me présenta à cette bombe brune et immense. Elle me mangea littéralement du regard en me serrant la main à laquelle elle venait d'ôter ses gants de soirée. Quasi immédiatement, mon pantalon se tuméfia de désir. Mon hôte m'expliqua leur vieille connivence par leur passé commun dans les favelas. Il avait connu Jovana tout petit et l'avait pris sous sa protection. C'est lui qui avait financé sa transformation et l'avait installée dans les milieux de la jet-set locale. Il m'expliqu'a également qu'ils étaient parfois amant et qu'il adorait se faire prendre par sa belle protégée et dormir ensemble l'un contre l'autre, l'un dans l'autre.

Il me proposa de poursuivre la soirée autour d'un dernier verre chez lui en compagnie de Jovana. Je sentis mon sexe se gonfler encore plus et mis ma veste pliée sur mon avant-bras pour masquer l'érection permanente depuis ce premier regard échangé avec Jovana. Mon impatience fut de courte durée car il m'avoua que son appartement joustait le bar qui en fait lui appartenait. Effectivement, quelques couloirs après, j'étais installé dans un fauteuil de cuir blanc qui dominait la baie de Rio. J'avais laissé ma veste de côté et mon érection était vraiment impressionante (il faut dire que je ne mets rien sous mon pantalon). Ronaldo nous donna des pilules magiques (c'était son terme) que nous avalâmes avec le cul-sec d'une nouvelle coupe de champagne. Ronaldo riait en disant que la nuit serait longue et remplissant nos coupes. Nous trinquâmes de nouveau mais Jovana garda en bouche son champagne. Elle me roula alors un patin grandiose ou sa langue chaude contrastait avecla fraîcheur du champagne. Elle me livra sa gorgée dans ma bouche que je bus avidement. Pendant ce temps, elle m'avait défait le bouton de mon pantalon et me branlait doucement la dureté de mon sexe. Ronaldo défit sa petite robe noire d'un geste de prestidigitateur ainsi que son string de cuir qu'il dégrafa sur le côté. Elle reprit une gorgée de champagne, s"agenouilla et engloutit mon sexe dans le champagne effervervescent de sa bouche. C'était divin et je le criais. Ronaldo s'était alongé sous elle et lui engloutissait son énorme sexe entre ses lèvres fines. Les lumières de Rio dansaient dans la baie. Son verre étant vide, je me séshabillais, Ronaldo en profita pour se mettre à 4 pattes sur la moquette épaisse. Jovana le fessa puis lui lécha son anus offert, elle aussi à 4 pattes. Je fis de même avec son merveilleux cul palpitant et qui sentait bon le désir. Je m'ennivrais de son odeur et branlait son énorme sexe dur comme un bâton. Elle m'ouvrait son anus que j'aspergeais de salive. Elle se releva et me montra le cul ouvert de Ronaldo, elle me mit 2 doigts dans la bouche, étala ma salive sur son sexe et empala son amant. Son cul palpitait. Je mis ma main devant sa bouche et elle me déversa une salive onctueuse que j'étalai sur mon sexe. J'ai rapproché un fauteuil pour me reposer dessus et j'ai posé mon sexe sur le bord de son anus et elle a crié lorsque je me suis enfoncé en elle au rythme de son va-et-vient dans Ronaldo. Je n'ai quasiment pas bougé, elle massacrait son amant de son sexe puissant et se cognait à mes couilles chaque fois qu'elle reculait. Elle jouissait du cul régulièrement comme j'ai rarement vu et nous sommes restés ainsi jusqu'au lever du soleil sans jouir, en limant à en perdre haleine avec de temps en temps une vieille soubrette à la peau ridée, nue sous tablier qui venait nous alimenter en pilules diverses et en champagne. C'était iréel. Ronaldo fut le premier à jouir, il hurla de plaisir au soleil nouveau qui nous éclairait. Immédiatement, la soubrette vint lécher à 4 pattes la semance éjaculée sur la moquette. Jovana limait de plus belle et je sentais sa jouissance s'approcher à la rétractation de son anus. L'idée même de sa jouissance me rapprochait de la mienne. Je fessais son cul avec une rare violence. Je sentais tout en elle. J'ai alors moi-aussi redoublé de violence, j'avais mal aux couilles à force de la percuter si profondemment. Elle a crié en même temps que je hurlais, je crois n'avoir jamais joui aussi violemment et abondemment. Nous nous limions toujours pourtant, mon sperme refoulait de son cul en même temps que sa jouissance anale. Je n'avais plus la notion du temps, j'avais 100 ans. Nous nous sommes endormis ainsi, le sexe toujours en érection maximum.  Je me souviens juste de la langue de la soubrette qui léchait ce qui était tombé, et ce qui ruisselait sur nos cuisses. Je suis resté deux jours chez eux, sans me rhabiller, lavé par la soubrette qui s'occupait de tout nos besoins et animé par le désir fou du cul de Jovana.

C'était en Colombie, au cours d'un vernissage, je regardais Nicoll déambulant en parfaite bourgeoise dans sa longue robe noire et ample. Je devinais malgré tout, ses formes généreuses lorsque le tissu épousait plus étroitement son corps lorsqu'elle effectuait certains mouvements. Elle fit tomber son sac que je ramassai immédiatement et en attrapant deux coupes de champagne qui passaient sur un plateau, nous pûmes entamer la conversation. Je voyais les tétons de ses seins pointer sous la caresse de la soie de son corset. Nous parlions mais sans nous écouter, je n'avais d'yeux que pour ses lèvres qui appelaient à être emplie par un sexe et elle avait aperçu le renflement que j'avais du mal à réprimer sous mon pantalon. Nous nous promenions au milieu des tableaux et je tournai la poignée d'une porte dans un recoin d'une salle qui s'ouvrit magiquement. Nous nous y engouffrâmes discrètement et je pus enfin sentir la douceur de ses lèvres si pulpeuses. Elle était nue sous sa robe ample et je promenai mes mains sur la braise de son corps. Elle m'avait baissé le pantalon, me branlait avec une énergie maîtrisée. Nos salives coulaient, j'en emplis main pour en étaler sur son anus qui palpitait. Je l'ai prise debout, dans le noir car nous n'avions pas trouvé la lumière. Je la branlais en même temps que je la prenais et lorsque j'ai lâché mon sperme en elle, elle a joui dans ma main comme si ma jouissance avait traversé son corps. Le plus dur était de trouver à s'essuyer sans tacher nos vêtements de soirée, par chance un tapis ou de la moquette recouvrait le sol.

Je l'ai rencontrée en Espagne et nous avons senti que nous étions fait l'un pour l'autre. Après la première nuit, j'avais encore et encore envie d'elle et c'était réciproque. Enfin, au bout de 2 jours nous avons pu nous libérer de nos occupations réciproques et sommes partis 3 jours dans la sierra andalouse. Une tente, un matelas, des fruits, du fromage, du pain, de l'huile de massage, de la crème solaire et une énorme bonbonne d'eau comme bagages. 3 jours, nus dans un creux de désert avec juste notre désir insatiable. Elle était petite et légère et je faisait tourbilloner dans l'air la douceur de sa peau. Nos sexes étaient presque en permance en érection. Je suis plutôt actif mais avec elle, je me suis fait limer comme jamais car j'avais envie de son plaisir. Je connais le tréfond de son cul avec tous les membres de mon corps. Nous nous sommes littérallement absorbés pendant ces trois jours ou nous n'avons dormis que par intermittence. Quand elle dormait, l'érection de mon sexe me révellait et je la réveillais à mon tour par mes caresses. Quand je m'endormait à mon tour, je me réveillais par le va-et-vient de son sexe dans ma bouche, par sa main qui me caressait. Nous sommes rentrées les yeux cernés, poussiéreux. Nous avons passés notre temps à nous embrasser sur le chemin du retour. Nous avons échangés des litres de salives. Si j'avais été plus libre et plus jeune, je l'aurai épousé c'est sûr. Je ne l'ai jamais revu. Mais j'en conserve, à tout jamais, un souvenir ému.