Les plus belles trans que j'ai connues
Ma brésilienne d'un jour m'a amenée dans un coin de forêt. Elle s'est déshabillée puis je l'ai attachée contre le tronc odorant d'un eucalyptus. Je l'ai léchée partout car j'aime avant tout son odeur puis je l'ai flagellé avec des bouquets de fougères géantes. Son corps était rosie et son sexe éclatait dans sa petite culotte noire. Je l'ai sucée, je lui ai dilatté l'anus de mes doigts puis de ma langue et mon nez. Je l'ai détachée, dénudée et je lui ai demandé de se laisser aller dans la nature, d'être un animal. Une odeur de terre s'était mélangée à son odeur à elle. J'ai plongé mon regard dans ses yeux noirs, et j'ai su que ce jour là, elle serait mon animal. J'ai plongé mon être entier en elle dans le bruissement des feuilles, le craquement des branches mortes. Les singes et les oiseaux acclamaient au loin cet accouplement mi-animal, mi-végétal dans les senteurs de la forêt et de nos semances qui ont giclées jusqu'à la nuit.